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Bienvenue Dans Mon Îlet

  • : Ilet de Chriss
  • Ilet de  Chriss
  • : Plein de photos de mon île de la Réunion, Des petits textes tout doux, Mes amours, Paris, l'océan Indien, l'Inde, le Vietnam, les Etats-Unis, la Thailande... Mes passions, mes zistoires, mes zamis, mes coups de coeur et plein d'autres choses encore....Vous qui passez me lire, faites un clic sur "Ecris moi un p'tit mot" ! Je suis Chriss, mes enfants : Plouf et Mwa, leur père Bill a disparu en 2006. La famille s'est agrandie et me voilà plusieurs fois Mamie ! Un billet par jour pendant 4 ans puis un peu moins régulièrement depuis six ans et mon nouveau boulot... Mais vous avez plus de 1700 articles à lire alors, bonne lecture !
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J'ai Déjà Écrit Tout Ça !

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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 04:35
Hampi, c'est un lieu magnifique en Inde.


Au détour d'un chemin, nous avons croisé ces enfants.
Devinez ce qu'ils font !

Réponse donnée ce mercredi 9 au soir, allez voir LA

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 05:00
Avec le port des fleurs dans les cheveux comme j'aime le faire en Inde, le port du bindi (point entre les deux sourcils) j'aime aussi porter des bagues de pied.
J'en ai plusieurs et comme les bagues des mains, elles s'assortissent à la tenue.
Evidemment ici, à la Réunion, comme il fait chaud, j'ai toujours des chaussures ouvertes, alors les bagues sont faciles à porter.
En métropole, dans des chaussures fermées, c'est pas marrant...

Je me suis aperçue que cette tradition n'était pas très connue alors comme je ne peux pas vous laisser mourir bêtes...
j'ai cherché des illustrations sur le net pour vous montrer mais je n'ai rien trouvé de très joli alors j'ai photographié mes pieds...
La Chriss, façon puzzle... aujourd'hui, les pieds...!



Ah, pour l'occasion, j'avais sorti mon dernier sari, mes bracelets de pieds et j'ai profité des derniers rayons du soleil sur le tronc de mon bananier et dans mes escaliers...


Chaussures achetées à Chennai (ex Madras), Inde
Bracelets de pied en argent, achetés à Pushkar (Rajasthan) avec Bill, lors de mon premier voyage en Inde en 1981.

Vous connaissiez ? Qu'en pensez-vous ?

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6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 12:34
L'envoi à Hélène d'un extrait d'un texte de Banerjee m'a fait revenir devant les yeux les images de la trilogie réalisée en noir et blanc par Satyajit RAY


Pather Panchali dépeint la vie du Bengale rural dans les années 1920, à travers le prisme du quotidien d'Apu (Apurba Kumar Roy) et des membres de sa famille.

L'histoire tourne autour d'une famille brahmane pauvre. La vie, de toute manière, est un combat, aussi Harihar, le père, doit partir en quête d'un nouveau travail, laissant sa femme Sarbajaya seule pour gérer la survie de la famille, la maladie de Durga leur fille, et la violence de la mousson. La mort de Durga, drame final, décide la famille à quitter le village pour tenter leur chance à Bénarès.


La Complainte du sentier (Pather Panchali) est le premier film du réalisateur bengali Satyajit Ray, sorti en 1955.

Dans les années 1940, alors qu'il travaille comme illustrateur et graphiste pour Signet Press, une maison d'édition créée par D. K. Gupta, Ray adapte pour les enfants Pather Panchali, un roman bengali classique de Bibhutibhushan Bandopadhyay, qu'il rebaptise Am Antir Bhepu (Le Sifflet en noyau de mangue).

Profondément touché par cette œuvre, encouragé par une conversation avec Jean Renoir qu'il a assisté lors du tournage du film Le Fleuve, Satyajit passera à l'acte après avoir vu à Londres Le Voleur de bicyclette, du réalisateur italien néo-réaliste Vittorio Da Sicca.

Réalisé avec peu de moyens, un casting et une équipe technique essentiellement constitués d'amateurs ou de débutants, complètement à la marge de l'industrie cinématographique indienne d'alors, Pather Panchali, se poursuit dans L'Invaincu, sorti en 1957, puis dans Le Monde d'Apu (1959) : ces trois œuvres forment La trilogie d'Apu. (merci Wiki)


En fait, je vous avais déjà mis une scène de ce film, celle du train.

Voici une deuxième avec Durga, la petite fille qui me fait trop penser à d'autres petites filles...


 


 


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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 14:31
L'article précédent m'a fait repenser à quelques photos du même endroit prises en Inde par Bill et moi.
C'était à Mahabalipuram, là où nous avons couru devant le tsunami (voir ICI).
Bill photographiait les familles indiennes sur le lieu le plus touristique de la ville, "la boule de beurre de Krishna". Elles prennent la pose et se font tirer le portrait. C'est un véritable spectacle.
Je faisais aussi des photos, cherchant à capter quelques drapés de saris, quelques tombés de tresses noires piquetées de fleurs. Dans le Sud, toutes les femmes accrochent des fleurs sur leurs cheveux. Moi aussi.
J'ai pris Bill au même moment où il prenait cette jolie famille.



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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 09:00
Sur mon Canal +, j'ai vu mercredi : "A bord du Darjeeling Limited", un film de Wes Anderson, sorti en mars 2008 avec Owen Wilson, Adrian Brody et Jason Schwartzman.

Déjà avec Darjeeling dans le titre, c'est sûr que je tends l'oreille et ça valait vraiment le coup. Couleurs, photos, musiques, je retrouve mon India... Et comme l'essentiel du film se passe dans le train, il devrait bien plaire à mon amie Hélène...

Nous suivons trois frères, très différents, qui ne se sont pas parlé depuis la mort de leur père et qui partent ensemble en Inde pour un voyage en train pendant lequel ils voudraient renouer leurs liens.


Mais tout ne se passe pas comme prévu et c'est un voyage étonnant qui se déroule sous nos yeux, à la vitesse du train, à travers ce magnifique pays, à travers la musique indienne, les couleurs de l'Inde, des bleus splendides, des ... enfin bref, je suis conquise !
Oh cette scène où le train s'arrête en plein désert parce qu'il s'est perdu !
Le désert du Rajasthan, là même où j'avais trainé mon sac à dos avec Bill en 1981 (hum, hier donc !), sert de décor réel à une bonne partie de ce film.
En un mot, une perle ! Allez le voir.


Sur allocine, j'ai vu que le réalisateur, Wes Anderson s'est découvert une passion pour l'Inde en regardant le film : "Le Fleuve" de Jean Renoir.

Les Anglais, pendant leur occupation du territoire des Indes, ont développé un réseau ferroviaire immense, et qui reste aujourd'hui l'un des plus fréquenté du monde avec plus de 15 millions de passagers quotidiens (ça a l'air beaucoup, mais les Indiens sont plus d'1 milliard !)

Les Stones, les Kinks, du bollywood et enfin le générique final avec la voix de Joe, oui mon Joe, qui chante "les Champs Elysées", je me suis régalée dans cet univers musical.


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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 11:46

Il m'arrive parfois de porter, comme les femmes indiennes, un point rouge entre les deux sourcils : le bindi.

A la Réunion, personne ne s'étonne.

A Paris, la question m'a été posée : que représente ce point rouge ?

Voilà l'explication !
Bindi - a decorative enhancement of the forehead - is a powerul medium of body decoration, adding definition to the female face. Hindus attach religious significance to the Bindi and in India, it is often refered to as kumkum, tilak or sindoor and is an integral symbol of a married Hindu lady. Traditionally vermilion is used to mark a large circle in the middle of the forehead as an adornment. However Bindis have now integrated into the fashion world with a wide range of shapes and intricate designs, available in sticker Bindis, finding their way to womens' foreheads all over the world.


Vous n'avez rien compris ?
Bon, in french now :
Le tilak (appelé aussi tika, bindi ou pottu) est une marque portée sur le front par la plupart des
hindous. Quand il n'est pas tout simplement une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bienvenue, le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux pour un homme ou la situation maritale pour une femme.

La plus ancienne référence au tilak connue provient du Rig-Veda. La déesse Usha, première épouse du dieu Sûrya, y apparaît portant une marque rouge vif sur le front, symbole du soleil levant.

Fabrication du tilak

Traditionnellement, le tilak de couleur rouge est créé à partir d'une poudre de curcuma séché, mélangée à du jus de citron vert, nommée kumkum. Celui de couleur blanche est obtenu en réduisant en bouillie du bois de santal. Lorsqu'il est gris, il s'agit généralement de cendres, symbole de bûcher funéraire.

Le tilak, dans sa version esthétique et détachée de toute considération religieuse, est appelé bindi (du sanskrit « bindu » qui désigne une goutte ou un point). Il est porté par les femmes et peut se présenter, dans sa version la plus sophistiquée, sous la forme d'un bijou autocollant souvent assorti aux vêtements.

Positionnement
Le tilak symbolise le troisième œil de
Shiva. Il se positionne sur le front, à l'emplacement du sixième chakra (âjnâ-chakra) dans lequel résident les facultés psychiques. Il souligne la dimension spirituelle de celui qui le porte.

Différentes interprétations

L'appartenance à un groupe religieux

Le tilak arboré par les vishnouites a la forme d'un U de couleur blanche dessiné autour d'un trait rouge ou noir. On le désigne sous le terme de tirunama.

Les shivaïtes (adorateurs de Shiva) portent sur leur front trois barres horizontales tracées avec des cendres. Il s'agit d'un tripundraka, qui, du point de vue des adeptes, facilite l'accès à la méditation.

Le statut marital

Dans le nord de l'Inde, le tilak (ou tika) porté par une femme indique qu'elle est mariée. De couleur rouge, il symbolise la force, l'énergie (Shakti). Très souvent, la femme mariée applique la même poudre rouge sur la raie des cheveux au dessus de son front. L'origine du vermillon dans les cheveux de la mariée remonte aux temps des Aryens où le mari déposait son sang sur la raie des cheveux de sa femme, d'où maintenant la poudre de couleur rouge.

Kundalinî Yoga

Les adeptes du Kundalinî Yoga estiment que lors de l'éveil de la Kundalinî, l'âjnâ-chakra est le point du corps par lequel l'énergie qui se déplace entre les pôles supérieur (au dessus de la tête) et inférieur (au niveau des organes génitaux et de l'anus) peut s'échapper. Le kumkum de couleur rouge aurait alors pour effet de retenir cette énergie à l'intérieur du corps.

Pour les parisiennes, je vous redonne l'endroit où l'on peut trouver tous les articles indiens, vêtements, bijoux, musique, aliments... : c'est derrière la gare du Nord. Les bindis se vendent en petites pochettes, pour quelques euros, vous trouverez toutes les formes, toutes les couleurs, à assortir à votre humeur ou votre tenue du jour...

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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 05:39

Ma Copine à moi DADABOU, qui connait si bien mon amour de l'Inde, m'envoie par mail cet article. L'Inde m'étonnera toujours...

Inde: un "mariage" de grenouilles pour faire venir la mousson


BOMBAY (Inde), 24 juin 2009 (AFP) - Deux grenouilles ont été "mariées" dans l'ouest de l'Inde lors d'une cérémonie traditionnelle censée déclencher les pluies saisonnières de la mousson qui sont en retard cette année, rapporte mercredi un journal indien.

Des dizaines d'habitants de la ville de Nagpur, à 860 kilomètres de Bombay, ont assisté à l'union solennelle ce week-end des batraciens Raja et Rani, raconte le Times of India.


Si l'on en croit les traditions, les "mariages" de grenouilles conformément aux rites hindous ou védiques plaisent aux dieux de la pluie. Plusieurs unions ont ainsi été scellées ce mois-ci en Inde ainsi qu'au Bangladesh voisin.

Au terme d'un été caniculaire, l'Inde, dont les deux tiers de la population vivent en milieu rural, attend avec impatience les premières pluies de la mousson dans l'ouest qui accusent cette année un retard de quelques jours, selon la météorologie nationale.

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 07:00

Hampi, India, lieu magique, je vous le fais découvrir un peu aujourd'hui...





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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 18:00


C'est un jeu indien, un peu comme un billard, qui consiste par une pitchenette à un pion percuteur, à déplacer ses pions dans un trou.
C'est un jeu d'adresse, accessible dès l'âge de 8 ans, à jouer à 2, 3 ou 4. Très prisé dans toute une partie du globe : Inde Pakistan, Yémen, Ethiopie... et à la Réunion bien sûr !
Ce jeu est très ancien mais les règles ont été arrêtées en 1956, une fédération s'est créée. Des tournois mondiaux sont organisés maintenant. On l'appelle aussi billard indien.


Les règles sont simples, une partie est rapide et les parties de rigolades assurées.
Au moins maintenant si vous ne connaissiez pas et si vous en voyez un, vous saurez ce que c'est !
9 pions blancs et 9 pions noirs, une reine... C'est cool pour jouer avec ses enfants qui souvent d'ailleurs vous mettront la pâtée pour leur plus grande joie. Si vous voulez y jouer, trouvez d'abord le plateau, puis vous aurez facilement les règles complètes sur le net.
Alors ça vous tente ?

                  

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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 04:50


Je suis allée quatre fois en Inde. Quatre fois un mois. Avec Bill.
J'aime l'Inde, je vous l'ai déjà dit. Pas seulement parce que je ressemble à une indienne. Sans doute à cause de mes gènes. Je m'y sens si bien. Chez moi quoi, de l'extérieur, parce que de l'intérieur, je suis française, ça c'est sûr.

Aujourd'hui je vous emmène à Pushkar. (prononcez Pouschkar)
Rien que le nom est magnifique.
Cette ville est un très doux souvenir pour moi.
Là, au bord du lac sacré, un jeune hindou nous a mariés en nous attachant un cordon au poignet, cordon que vous verrez sur une photo plus bas. Bien sûr c'était uniquement symbolique mais sentimentale comme je suis, j'y ai vu comme une évidence. Oui, nous étions unis. C'était notre premier voyage si loin de France, ensemble.

L'arrivée à Dehli en pleine nuit, dans cette chaleur étouffante, après la fatigue du voyage -vol charter-, la découverte de ce nouveau monde pour moi alors que Bill en était à son troisième voyage, les corps étalés le long des routes de l'aéroport à la ville, des gens qui dormaient partout, tout m'étonnait.

A Pushkar, nous avions posé nos sacs à dos dans un hôtel qui était un ancien palais de maharadjah, situé au bord du lac. Une colline dominait le site avec un temple accroché au sommet.
Partout où l'on pouvait, Bill m'emmenait toujours au plus haut. Nous l'avons escaladé en pleine chaleur cette colline. Mais la vue était vraiment magnifique. Je pouvais imaginer les lieux lorsque chaque année s'y déroule la foire aux chameaux. Avec les bruits et les odeurs.

Nous avons fait connaissance de deux indiens. C'est l'un d'entre eux, Rajiv, qui nous prend en photo devant le lac. Un peu bougé mais j'aime bien les photos de nous deux. Je vous montre aussi une photo de Bill que j'adore. Les mains de la Chriss qui découvre sa première pluie tropicale et l'hôtel palais de maharadjah...





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