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Plein de photos de mon île de la Réunion, Des petits textes tout doux, Mes amours, Paris, l'océan Indien, l'Inde, le Vietnam, les Etats-Unis, la Thailande... Mes passions, mes zistoires, mes zamis, mes coups de coeur et plein d'autres choses encore....Vous qui passez me lire, faites un clic sur "Ecris moi un p'tit mot" ! Je suis Chriss, mes enfants : Plouf et Mwa, leur père Bill a disparu en 2006. La famille s'est agrandie et me voilà plusieurs fois Mamie ! Un billet par jour pendant 4 ans puis un peu moins régulièrement depuis six ans et mon nouveau boulot... Mais vous avez plus de 1700 articles à lire alors, bonne lecture !
J'ai donc retrouvé mes 60 kilomètres quotidiens et l'écoute à plein pot de France Inter.
Ce matin, j'ai entendu cette chanson d'Arno. J'ai aimé.
"Je veux nager"
Tu penses que les femmes m'adorent
Tu penses que mon nez est pas trop grand
Tu penses que je suis intelligent
Tu penses que je pense
Et moi je veux nager
Encore une fois avec toi
Et moi je veux nager
Ma femme n'est pas là
J'suis pas James Bond
Tu penses que je peux être une star
Tu penses que je suis assez beau
Tu penses que j'ai une tête de veau
Et moi je veux nager
Encore une fois avec toi
Et moi je veux nager
Ma femme n'est pas là
Tu penses que je suis pas trop petit
Tu penses que je peux être heureux
Tu penses que je vais mourir
Tu penses que je dis des conneries
Et moi je veux nager
Encore une fois avec toi
Et moi je veux nager
Ma femme n'est pas là
Moi j'aime Dieu
Moi je fais ce que je veux
J'adore Hollywood
J'aime l'été à St Tropez
Et moi je veux nager
Encore une fois avec toi
Et moi je veux nager
Ma femme n'est pas là
I wanna swim with you
In the moonlight
Je veux nager, nager avec toi
In the moonlight...
Paraît que certains d'entre vous doivent reprendre le chemin du taf ce lundi matin !
Paraît...
J'sais pas moi, parce que j'ai encore quinze jours de vacances...
Mais j'ai vu ce morceau sur le facebook de mon fils chéri, alors je vous fais profiter... Non, non, ne me remerciez pas...
Parce que je suis une inconditionnelle de Julien
Dès que je l'ai vu, je suis tombée sous son charme
Parce que la voix de Béatrice me fait craquer
Parce que j'aime entendre ce morceau
Je le mets ici, chez moi, bien au chaud...
A mince, l'intégration est interdite !
Alors le clip officiel c'est LA !
Mais vous pouvez aussi écouter en cliquant, tout en bas...
Belle journée !
Tes lèvres en tremblent encore,
Et l'homme que ton coeur porte semble moins fort,
Et si le combat prend fin,
C'est sûrement parce qu'on t'a pris par la main,
Et tout bas tu me murmures,
Tout ce que j'aime tu me l'assures,
Et dans tes défaites, tu me promets,
Qu'un nouveau jour est pour demain,
Doucement tu me fais voir,
Les plus douces de tes histoires,
Plus notre idylle avance d'autres filles entrent dans la danse,
Ses lèvres en tremblent encore,
Et sous mon poids son cœur vibre plus fort,
Et les craintes qu'elle a s'amplifient,
Elle sait qu'une autre fut dans mon lit,
Tout bas je lui murmure,
De calmer toutes ses inquiétudes,
Et dans mes mensonges, je lui rappelle,
Qu'à mes yeux il n'y a plus qu'elle,
Doucement tu me fais voir,
Les plus douces de tes histoires,
Plus notre idylle avance d'autres filles entrent dans la danse ...
Le musicien Denis Quillard, dit Jacno, qui avait créé en 1976 avec Elli Medeiros les Stinky Toys, est mort d'un
cancer à l'âge de 52 ans, dans la nuit de jeudi à vendredi.
Il avait fondé l'un des tout premiers groupes de la scène punk française, et il avait donné à l'époque des concerts avec les
mythiques Sex Pistols.
Artiste emblématique de la pop synthétique des années 1980, il avait connu le succès avec son célèbre duo Elli et Jacno, et avait trouvé sa place sur la nouvelle
scène française aux côtés de Taxi Girl et Indochine.
Jacno avait en outre produit le premier album d'Etienne Daho, «Mythomane», ainsi que «Tombé du
ciel» de Jacques Higelin et avait composé le hit «Amoureux solitaires» de Lio.
(source leparisien.fr)
Ce sont des souvenirs si lointains...
En 1979, je vivais avec un jeune homme, A. qui ressemblait un peu à Jacno. Il jouait de la guitare dans un groupe, il se croyait punk... Et moi je portais un pantalon en simili-cuir !
Ca me fait marrer quand j'y repense maintenant.
Et j'écoutais Jacno, les Sex Pistols...
Vous imaginez ?
Allez, une p'tite zik pour vous mettre la banane...
Je l'entends souvent dans ma voiture et alors je gigote sur mon siège. Elle est dans ma tête...
Facile à retenir. Facile pour moove... Tom Frager et sa Lady Melody
Je viens de faire sa connaissance sur le net, mince alors, c'est un champion de surf, né au Sénégal, grandi en Guadeloupe et donc musicien.
Vous connaissiez, vous ?
J'ai entendu ce morceau plusieurs fois.
Moi la musique me donne la pêche.
Vous aimez ?
C'est FEFE
Loin du bonheur et des îles
Où la misère prend ses aises.
Près du hall où l'oppressé
Se console avec des si
Plus de chemins, plus de repères, que des raccourcis
Pour la plupart piégés, piégés, piégés
Quand se nourrir est un film
Et nourrir les tiens, ton rôle
La rue te donne quelques scènes
Tirées de mauvais scénarios.
Pour le coup elle peut te fournir tous les plans possibles
Mais pour demain qui sait, qui sait, qui sait
J’veux du soleil poye poye poye poye
J’veux du soleil du pays poye poye poye poye
J’veux du soleil poye poye poye poye
Sur le bitume tant chéri
Rien de neuf dans ma rue
Juste une année damnée à pas d’avenir
Qu’est ce qu’ qu’est ce qu’ que qu’est ce qu’elle y connait ? : « rien »
Qu’est ce qu’elle y connait ? : « rien »
Qu’est ce qu’elle y connait ? : « rien, rien, rien »
Quand on a rien d’autre à faire,
On la pratique par défaut
Y a que ceux qui n’ont pas touché le fond
Qui en parlent comme d’un trophée.
Ni de première, ni de deuxième place ici
Plus tu y es, plus tu perds, tu perds, tu perds.
Quand elle est tout ce que l’on a
On rêve d’autre part.
Parce qu’elle a tout ce que l’on est, même éloigné d’elle on l’aime
Elle nous grandit, nous en dit long sur ce qui est à venir.
Tout pour mieux la quitter, quitter, quitter
Pour vous faire patienter
en attendant l'article tant attendu de Boutfil
qui a déposé chez moi
le 3000ème commentaire,
voici cette magnifique chanson
que j'aime depuis toujours...
samedi 8 août 2009 Dans l'enceinte du Sakifo, sous les filaos et en bord de mer
(tu imagines bien le décor là ?), il y a trois espaces bien distincts dans lesquels alternent les différents concerts.
Trois scènes qui se nomment : "La Poudrière", "Les Filaos" et "Salahin".
Surla scène de la Poudrière, à 21h45, Java a ouvert le bal.
Et RWana commencé direct, avecFixi l'accordéoniste, Pépouseman à la basse, Bistrol Banto à la batterie, il a mis le feu à la Poudrière.
Il nous a fait danser, chanter, bouger, sauter, crier, et surtout rire !
C'était la java, la fiesta, la bomba !
J'ai chanté, dansé, bougé, sauté, crié, rigolé.
J'ai crié "Fermer ma gueule", une phrase d'un des morceaux (oups, j'sais pas le titre). Mon voisin de devant s'est retourné vers moi en riant et en me demandant pourquoi je l'agressais ainsi
!
R Wan est descendu dans la foule pour chercher des couples qu'il a emmené danser avec lui sur la scène et nous dans le public on devait danser aussi.
Il a fait rentrer la jolie boulangère de St Leu. Oui tu sais, celle qui fait craquer les mecs qui viennent tous les jours lui acheter son pain. Elle avait deux phrases à dire et nous on
répondait.Et elle maillait ! Et nous on était pliés de rire.
Elle devait dire : "Et avec ceci ?".
Et nous on répondait : "Oui".
Puis elle disait : "Ca sera tout ?".
Et nous : "Non".
Ca a duré longtemps car au début, une fois sur deux elle disait "Et avec cela ?" au lieu de "Et avec ceci ?"...
On a bien répété ces phrases, emportés dans l'élan, la joie de vivre du chanteur.
Ensuite ils sont descendus dans la foule qui les a porté à bout de bras à travers l'espace des spectateurs. Magique !
Il nous a entraîné à faire des mouvements tous ensemble. Tu imagines une foule de plusieurs milliers de personnes qui bougent tous en même temps.
"A gauche" et tout le monde se déplaçait vers la gauche. "A droite" et hop on repartait dans l'autre sens comme un seul homme ; qui lèvent les bras en l'air,qui allument leur briquet ou leur téléphone.
D'en haut, ça devait être bien joli.
On s'est tous accroupis et au signal hop, on a tous sauté en l'air ! Et j'te dispas, serrés comme des sardines, pas simple de s'accroupir ! Un seul tombait et
tels des dominos, toute une zone risquait de s'écrouler...
A un autre moment, le public s'est mis en couple et a entamé une java endiablée.
Au rappel final, Java a entonné l'hymne javaien, celui que j'attendais depuis le début du show, celui que j'avais chanté le 13 juillet à la Bastille :
"java c'est pas dans la menthe à l'eau java c'est du rock n roll java c'est le vrai son parigot la devise, sex accordéon et alcool"
R Wan a fait monter sur scène deux chanteurs réunionnais qui se sont mis à chanter à leur tour en une grande communion. Puis il a repris le micro pour finir son
morceau fétiche.
23h, il fallait vite courir à la scène "Salahin" pour ne pas rater le début du concert d'Olivia.
Mais la transition est brutale et j'ai eu du mal à rentrer dans l'univers de la miss Chocolat tant j'étais emportée par Java...